L’existence prend un sens différent pour chacun. On peut le découvrir de plusieurs façons différents1/1/2021
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![]() VOLUTION DES DONS Pour financer les projets de développement en partenariat avec les comités locaux d’Afrique et d’Amérique du sud, GAM asbl peut compter sur des actions annuelles organisées par nos bénévoles et des dons de particuliers. Depuis la crise sanitaire, toutes nos actions ont été supprimées en présentiel. Néanmoins, grâce à des dons généreux et au dévouement de nos volontaires, nous avons récolté en 2020 les fonds qui serviront aux projets 2021. A toutes et à tous, un grand merci ! CALENDRIER GAM 2021 Dépêchez-vous. Il en reste encore un petit stock. Soutenez le GAM asbl! Contactez-nous ! ET LA COVID-19 EST ARRIVÉE… Le continent africain a montré, en général, une résilience au virus : Des chiffres de guérison très importants, peu de contagions et une bonne capacité pour traverser les vagues de la maladie, sans arriver à l’hécatombe que tous annonçaient. Néanmoins, la COVID a causé aussi des décès en Afrique, des musiciens sudafricains ont créé un hymne global et les écrivaines et cinéastes du continent ont réussi. La COVID nous a tous marqué et nous a dévoilé des héros globaux. PROJETS GAM asbl 2021 I. Équipement du matériel technique pour les séances de formation au centre de formation à Tuum (Projet financé par le GAM asbl en 2014). Objectif: Équiper techniquement le centre de formation de Tuum pour que la population locale, mais aussi la population des zones plus éloignées, puissent y profiter d’une manière efficace et efficiente des séances de formation. Le nombre des bénéficiaires sera donc plus élevé. II. 2ème phase “Programme d’alphabétisation des femmes du peuple Samburu”. Objectif: Apporter aux femmes du peuple Samburu une instruction qui leur permettra de développer une entreprise familiale et subvenir ainsi aux besoins de leurs enfants. ![]()
![]() Si à la fin de 2019 les prévisionnistes nous disaient que 2020 allait être cela, on aurait pensé que cette idée venait de l'esprit d'un écrivain habitué à créer des oeuvres dystopiques, futuristes et apocalyptiques. Nous sommes encore nombreux, même deux mois après le début du confinement, à nous demandait si tout cela n'est qu'un cauchemar. Nous sommes actuellement en pleine désescalade, un mot, soit dit en passant, qui n'existe pas dans notre langage usuel. Et le fait est que le COVID-19 a créé même un nouveau vocabulaire, en plus d'une réalité différente de celle que nous connaissions avant que la pandémie ne vienne à notre rencontre. Pour le moment, comme je l'ai dit, nous sortons d'un confinement qui, dans certains pays, a été plus rigoureux et plus répressif que dans d'autres, mais inévitable dans tous les cas. La responsabilité que nous avancions ou pas et que nous ne revenions à une sorte d'exception dépendra en grande partie de nous, de la manière dont nous allons gérer cette situation, de la cohérence et de la conscience que nous avons du virus et de sa réelle possibilité de contagion. Le confinement a servi à aplanir la célèbre courbe, à atténuer la saturation des hôpitaux, mais pas à éliminer le virus qui, dans de nombreux cas, peut être mortel ou causer de graves séquelles avec des répercussions délétères et durables sur notre santé. Ce virus n'a pas de conscience, n'a pas de morale, ne choisit ni ne sélectionne. Les chiffres de contamination sont toujours effrayants. Pendant ce temps, les scientifiques continuent de travailler contre la montre pour trouver des solutions qui atténuent la gravité des cas les plus compliqués, mais surtout pour trouver le plus rapidement possible un vaccin qui réponde également aux garanties nécessaires d'efficacité et de sécurité et surtout l’éradication de ce virus. Nous sommes rassurés de savoir que tandis que le virus progresse, la science le fait aussi. Et pour cette raison, d'énormes sommes d'argent sont collectées en un temps record qui permettront à la fois l'accélération des processus de recherche afin d’obtenir un vaccin, et de veiller ainsi à sa fabrication et sa distribution. Sans aucun doute, il faut souligner les innombrables gestes de solidarité manifestés lors de cette crise sanitaire imposante, qui se sont produits au milieu de souffrances généralisées. Les organisations internationales ont joué un rôle important dans la promotion de l'ensemble de ce processus. ![]() L'Union européenne a réussi à éveiller la solidarité des États membres, suspendue depuis longtemps, et elle y est parvenue non pas tant sur le plan européen que sur le plan européiste. Mais d'un autre côté, cette soudaine vague de solidarité nous amène à nous demander pourquoi elle n'a pas été déclenchée précédemment, et dans la même mesure, lors de l'attaque d'autres pandémies, telles que celles causées par les crises humanitaires, les maladies tropicales ou celles causées par la pauvreté et les inégalités socio-économiques, qui, le cas échéant, n’affectent qu’une partie de la population. Et par « une partie », j'entends les plus de 200 millions de cas cliniques et plus de 400 000 décès que le paludisme produit chaque année et qui, en 2020, devraient devenir plus de 700 000 décès dus aux implications causées par le COVID-19. La faim et la pauvreté provoquent également des chiffres exorbitants : elles génèrent plus de 3 millions de morts par an. Sans oublier également les victimes qui produisent des abus de travail, l'enrichissement des agents économiques et autres violences, etc. Après cette pandémie, nous devons repenser nos priorités, nos valeurs et nos responsabilités. Non seulement pour les faits exposés ci-dessus, mais également en ce qui concerne notre rapport avec la nature. Certes, reconstruire une économie qui a chuté en raison du confinement forcé et imposé par COVID-19, faisons-le en conformité avec notre environnement naturel, et non contre lui. Le meilleur vaccin contre les pandémies, nous ne devons pas l'oublier, est une nature saine : des écosystèmes fragmentés et appauvris multiplient de façon exponentielle les probabilités de zoonose et les conditions idéales pour l’émergence de nouvelles maladies sans protection contre ces agents pathogènes dangereux pour nous. Le meilleur vaccin contre les pandémies, nous ne devons pas l'oublier, est une nature saine : des écosystèmes fragmentés et appauvris multiplient de façon exponentielle les probabilités de zoonose et les conditions idéales pour l’émergence de nouvelles maladies sans protection contre ces agents pathogènes dangereux pour nous. Toutes les données montrent que la Terre, qui est encore ronde, surchauffe à des niveaux incompatibles avec la vie de nombreuses espèces. Ce surchauffage va radicalement changer - pour le pire - notre habitat. Toutes les informations scientifiques indiquent qu'il faut arrêter de dévorer la planète, que les manières de consommer doivent être radicalement modifiés, que l'idée d'une croissance illimitée est une impossibilité logique dans notre monde. C'est un fait avéré que les humains sont devenus une force de destruction capable d'altérer le climat de la planète. Souvenons-nous que la nature n'a pas besoin de nous ; ce sont les êtres humains qui ont besoin de la nature. ![]() Faisons de cette pandémie et de cet enfermement une transformation positive de nos sociétés. Nous ne voulons pas tourner le dos aux conséquences négatives de cette situation, qui sont nombreuses et certaines très graves. Chaque jour, des milliers de vies disparaisse et, dans de nombreux cas, ces personnes partent sans la chaleur de leurs proches. Il est également vrai que l’enfermement génère des conflits et une augmentation du nombre de victimes de violence de genre, et que les confinements ne sont pas tous identiques, car nos maisons et nos réalités sont très différentes. À cela, il faut ajouter le nombre de personnes qui ont déjà perdu leur emploi pendant cette période, les faillites des entreprises et toutes les situations personnelles qui vont s'aggraver dans les prochains mois suite à cette crise, creusant ainsi l'écart des inégalités. Mais je suis convaincu que, malgré tout cela, nous devons regarder avec audace vers l'avenir pour y apporter des changements radicaux. Aucune grande pandémie dans l'histoire n'a pris fin sans provoquer de grandes transformations dans la société, l'économie, la politique et les idéologies et, par conséquent, dans notre mode de vie. Ce fut le cas avec la peste noire du 14ème siècle, la mal nommée grippe espagnole de 1918, et c'est ce qui va arriver maintenant avec COVID-19. Oter la vie de dizaines de milliers de personnes à la fois à l'échelle mondiale, signifie que rien ne peut être pareil, ni n’en devrait être pareil. Précisément, des grands désastres collectifs, sont comme chacun le sait aussi des grands échecs individuels, nous devons tous en tirer les leçons. Cependant, la mémoire est fragile et le passage de nouvelles générations avec de nouveaux intérêts et problèmes fait qu'elle finit par être oubliée. Lorsque des événements sont récents, il est plus facile de s'en souvenir. Bref, nous devons réfléchir avec rigueur, urgence et empathie sur ce que nous devons faire lorsque tout cela sera terminé. Là est notre défi. Ferro B. Amílcar mxy Presidente de GAM asbl #EsteVirusLoPramosUnidos #YoMeQuedoEnCasa #ParaLaCurva #Solidaridad ![]()
Un virus, scientifiquement le SARS-CoV-2, qui cause la maladie du Covid-19 s’est « couronné » effrontément le propriétaire du monde, a montré nos faiblesses, a mis en échec des gouvernements qui se considéraient comme invulnérables et puissants. Il s'est emparé de la machine qui anime la mondialisation, a enfermé et isolé des millions de personnes, prisonniers de la confusion et de la peur. Le monde s'est arrêté net sur ses traces et a cédé la place au cauchemar. Cette pandémie a éveillé des craintes ataviques chez les citoyens, mais en même temps, elle nous a rappelé que la santé est la chose la plus importante, que les frontières soulevées par les conflits guerriers sont détruites par quelques gouttes de salive, et que la solidarité ainsi que l'empathie doivent être au-dessus de l'égoïsme et de l'individualisme. La séparation ne nous avait jamais autant unis. Nous nous rendons compte que l'objectif du confinement est de ne pas attraper ce virus invisible dont la létalité est soudaine et capable de mettre des pays entiers en quarantaine. Il réside en partie dans le fait de ne pas l'avoir suffisamment craint. Les principales institutions mondiales ont dénoncé depuis plusieurs mois, qu'une épidémie à grande échelle était aussi alarmante que réaliste et ont averti qu'aucun gouvernement n'était prêt à y faire face. La conséquence est que la plupart des pays occidentaux sont aujourd'hui dépassés dans leurs capacités à lutter contre l'épidémie. La réaction a été tardive et parfois mauvaise. Peu (sinon aucun) de gouvernements ont investi suffisamment dans la recherche, et ce manque entraîne maintenant le plus grand déséquilibre socio-économique et fiscal imaginable. Il y aura du temps pour en parler; il est désormais plus urgent de promouvoir l'unité. Unité car en ce moment l'urgence est triple: affronter la tragédie sanitaire, protéger l'économie et affronter la récession sociale qui se profile. Je reconnais avoir peur des effets d'un confinement complet sans date d'expiration proche. Je les crains à court terme, car cela peut déclencher des troubles sociaux, mais aussi à long terme, car une société qui s'habitue à vivre sans liberté, quelle qu'en soit la justification, est une société plus susceptible au conformisme et à la résignation.
Cependant, sans nuire à la gravité de la situation, qui est un fait, nous devons nous efforcer de voir à quel point nous pouvons tirer des bénéfices de tout cela : maintenant, plus que jamais, nous valorisons la solidarité, la coopération, la résilience et l'empathie. S'il nous reste quelque chose, c'est du temps. Et nous devons en profiter, entre autres, pour réaliser qu'il y a beaucoup de gens qui vivent cette situation dans la solitude, entassés dans des maisons, avec des gens qu’ils n'aiment pas (ou pire encore, sur le même toit avec des personnes qu’ils craignent). Il y a aussi ceux qui vivent dans la rue ou ceux qui n'ont pas de ressources. S'il y a quelque chose que ce virus, cette terrible pandémie, nous a appris, c'est qu'il y a équité dans la contagion et qu'il s'attaque à tous indistinctement, sans différences idéologiques, ni de classes, ni de races ni de religion. Cette pandémie s’érige, à mon avis, en véritable élan qui nous permet enfin de réaliser que la société avait besoin d'un changement et que notre pyramide de valeurs était inversée. J'ose même affirmer qu'une fois la pandémie passée ou cette période passée, nous ne reviendrons pas à la normalité, car la normalité était le problème. L'explosion des gestes solidaires, de la créativité et de l'ingéniosité se multiplient pour maintenir le pouls social. Nous devons réaccorder nos émotions, résister à l'hystérie collective, être prudents et disciplinés afin de mettre en œuvre les directives d'isolement imposées par les gouvernements. Nous devons nous protéger, afin de protéger les autres. Jamais auparavant un principe aussi basique et aussi oublié n'a été rendu aussi patent. En période d'individualisme et d'égoïsme, un virus se bat principalement avec solidarité et empathie pour l’autre : un petit défi pour l'humanité ! Qu’il dure deux semaines ou deux mois (plus probablement ce dernier), la bataille citoyenne contre le virus, qui se profile après la victoire, dont le prix devra être pris en compte dans les vies humaines plutôt que dans les données économiques, est une convulsion de l'ordre social des dimensions encore difficile à concevoir. La puissance planétaire va être redistribuée différemment de ce que nous connaissons depuis ces derniers soixante-dix ans. Il y a encore beaucoup d'incertitude quant à ce qui se passera dans les prochains mois. Le monde est à court de dates, pour l'instant. Mais nous les mettrons sur le calendrier d'une année de neuf mois seulement, et nous le ferons quand tout ceci se terminera. Ceci passera. Le coronavirus, j'insiste, présuppose un point d’inflexion. Lorsque la pandémie se retirera et que nous reprendrons les rues, nous aurons devant nous un monde différent. Je suis convaincu que nous n'oublierons pas ce que nous avons appris, sinon tous ces efforts seront vains. De plus, si après cette pandémie nous ne devenons pas de meilleures personnes, alors nous n'aurons rien appris de la vie. Amílcar Ferro B #RestezChezVous #FlattenTheCurve #Solidarité ![]()
Chers amis, bienfaiteurs et sympathisants du GAM asbl, Je vous écris la première newsletter de cette année, afin de vous donner les nouvelles des projets qui, grâce à votre générosité, ont permis, avec nos partenaires locaux, la mise en place de 5 projets au total en 2019 et trois nouveaux projets durables en voie d’exécution en cette année bissextile, à savoir :
Le projet concernant l’élevage avicole réalisé par l’AFEC (association des femmes de Kounahiri) en 2019, est un projet d’insertion sociale et de lutte contre la pauvreté en milieu rural. Désormais, il fonctionne très bien et commence à donner ses fruits ce qui permet d’en faire bénéficier le village ainsi que les familles des 25 femmes responsables associées. Soutenues par le GAM asbl, c’est-à-dire, par Vous, elles ont décidé de relever le défi et de se prendre en charge. Tôt le matin et à tour de rôle, les femmes vont au poulailler pour le nettoyer, nourrir les animaux, et s’assurer que tout aille bien; personne ne manque aux tâches affichées sur le calendrier ! Ce projet a permis de développer chez ces femmes agricultrices une amitié solidaire, un désir de continuer les cours d’alphabétisation, la capacité de travailler en groupe, en un mot de savoir s’organiser… Chaque semaine, le vendredi, une réunion d’évaluation est organisée avec le formateur spécialisé en élevage, afin d’améliorer le fonctionnement du groupe. Elles attendent maintenant la commercialisation de leurs produits, encore un nouveau défi qu’elles sauront relever, j’en suis convaincu ! FERRO B. Amílcar mxy Président du GAM asbl DES NOUVELLES….
1- Les 8 et 9 juin, se dérouleront à Bruxelles, les EDD 2020 (Forum Européen sur le Développement organisé par la Direction Générale de la Coopération au Développement de la Commission Européenne.) Le GAM a déjà présenté sa candidature et nous espérons pouvoir participer comme nous l’avons fait en 2019. 2- Je me réjouis de vous présenter la troisième activité GAM, dénommé : TAPAS & ALEGRIA Afin de soutenir les projets durables retenus par le GAM asbl, je vous attends Le 13 juin à 19h30, à la Salle GAM : Rue Doyen Boone 6 à 1040 Etterbeek. Ticket adulte : 20 € et jeunes à partir de 16 ans. Priorité à ceux et à celles qui auront acheté leurs tickets avant la date car les places sont limitées ! Et déjà un grand Merci à vous tous. Premier forum européen sur le développement depuis 2006. Nous avons financé 23 projets durables destinés à 4.114 bénéficiaires dans 7 pays grâce à vous ![]()
La culture Samburu a été transmise de génération en génération grâce à sa riche tradition orale et aux longues heures qui passent à l'ombre des arbres ou à la brise légère avec la lumière de la nouvelle lune, mais le monde continue de tourner et les changements se produisent chaque fois à une vitesse supérieure. Nous voulons continuer à maintenir l'ombre de l'arbre comme lieu de rencontre et de communion, mais nous avons de plus en plus besoin d'endroits plus équipés et mieux équipés, d'un nouvel "aréopage" comme Paul à Athènes. Cela fait plusieurs années que le centre d'accueil et de formation est devenu opérationnel pour nos leaders et agents pastoraux, non seulement de Barsaloi, mais également de tous les villages voisins. Cet espace joue un rôle fondamental dans la formation, la préparation, la prévention et la projection de la vie religieuse, sociale, politique, économique et du développement de notre communauté. Depuis la mission de Barsaloi, nous avons pleinement profité de cet espace pour la planification et l'évaluation de toutes nos activités et conseils pastoraux. Le gouvernement et de nombreuses autres organisations non gouvernementales utilisent constamment cet espace pour la réalisation de leurs réunions, formations et séminaires tels que l'hygiène et la santé, dirigés par une ONG appelée Amref, sur la formation politique et démocratique de nos leaders animés par le Comité Justice et Paix et du Diocèse; des réunions de comités pour la création de petites entreprises et de micro-crédits. Avec une autre institution appelée Bomas nous avons organisé des réunions d’urgence pour enseigner et écarter les conséquences des sécheresses de plus en plus fréquentes. Les écoles de formation pour adultes, en particulier les femmes, ont trouvé un espace pour partager et poursuivre leur formation en dehors de la classe, ainsi que les clubs de défense de l'environnement que nous avons dans chacune des écoles publiques. Les femmes, les enfants, les jeunes, les personnes âgées, les guerriers et les hommes de la communauté Samburu ont eu l’occasion de participer à de nombreuses réunions variées dans notre centre de formation. Au fil des ans, l'utilisation fréquente, la chaleur intense et la menace constante des termites nous ont incités à lancer un projet de réforme de certaines structures de notre centre à court et à moyen terme. C’est non seulement un lieu de doctrine et de formation, mais aussi un espace de liberté et d’égalité, où le sexe, l’âge, la langue ou le niveau d’éducation ne sont pas des obstacles à l’expression mais au contraire ce sont des ponts pour la communion et le dialogue. Merci encore à vous tous, amis de la Fondation GAM, et nous vous invitons à continuer à être liés à tous nos projets en faveur du développement et de la proclamation de l’Évangile de la vie foisonnante, mais avec la qualité et la justice que Jésus veut pour nous tous. Guillermo Alvarez. «Chaque jour qui se lève est une opportunité pour se rapprocher de son rêve » Anonyme.Télécharger newsletter in .PDF ![]()
Des gestes de solidarité, des projets durables, des partenaires locaux qui se prennent en charge, des femmes scolarisées, pour un monde plus égalitaire, des enfants qui vont à l’école afin de caresser un avenir meilleur, des adultes qui découvrent l’alphabétisation, comme un moyen indispensable de performance dans l’agriculture, dans l’élevage, dans la gestion de leur vie…
Des hommes et des femmes accompagnés par des missionnaires de ma congrégation, qui se mettent ensemble pour rédiger un projet commun ainsi que la construction de logements pour accueillir les sessions de formations de longues durées…. Sept voyages humanitaires ont été réalisés par le GAM, dans différents lieux. Tous les projets sont achevés ou sont en voie de l’être…Et nous sommes prêts à relever de nouveaux défis ! Aller à la rencontre de nos partenaires, les côtoyer, découvrir par nous-même leur génie pour survivre dans ces milieux inhospitaliers, mais si beaux grâce à la nature… Aujourd’hui, selon un rapport de l’ONU, la faim dans le monde continue d’augmenter. 821 millions de personnes souffrent à présent de la faim et plus de 150 millions d’enfants accusent des retards de croissance. Oui, Mon rêve c’est le GAM. Le rêve de GAM est mon rêve et donc aussi le vôtre ! Par des projets durables, ensemble, nous soutenons les villageois afin qu’ils se sentent chez eux, qu’ils soient heureux tout près des leurs et qu’ils ne soient pas tentés de partir loin, dans un exode sans retour ou tentés dans une émigration sans avenir. Oui, je soutiens le GAM. Le GAM c’est VOUS ! FERRO B. Amílcar Président du GAM asbl |
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